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Calculs de réseaux, sous-réseaux, masques, IP, Broadcast, …

Que ce soit pour le travail, pour créer un réseau, ou pour réaliser des exercices pour les cours, ou tout simplement pour le fun, nous avons parfois besoin de calculer des IP, réseaux, masques et ainsi de suite. Si connaître la théorie est importante, via des calculs binaires (ET, OU, …), nous trouvons déjà pas mal de tutoriels sur le Net en plus de ce que nous apprenons en cours. J’avais déjà eu à la faire pour le CNAM en RSX101 (Réseaux et Télécommunications) et je viens d’avoir à travailler de nouveau sur ces sujets pour le cours de RSX103 (Réseaux : compléments et applications). A l’époque j’avais utilisé ShunIPCalc pour me faciliter la vie. je l’avais aussi utilisé en entreprise pour concevoir notre actuel réseau et son découpage. Mais j’ai pu découvrir récemment d’autres applications sous Linux pour le compléter comme sipcalc, ipcalc et GIP (Internet Protocol Calculator). Voici donc une brève présentation de ces outils qui je l’espère pourra vous aider pour le CNAM ou au travail. 🙂

Sommaire

ShunIPCalc

Surement le plus connu et le premier que j’ai utilisé. Sous Windows il s’agit d’un freeware. Facile d’utilisation et très complet c’est celui que j’ai utilisé le jour où j’ai du modifier le réseau de mon entreprise. En effet on peut facilement concevoir des plans d’adressage compliqués en choisissant de travailler sur des plages d’IP, des nombres de machines par sous-réseaux et ainsi de suite.

C’est vraiment une aide et le site y apporte beaucoup. En plus de donner un logiciel complet, son auteur a rédigé des pages explicatives sur tous les calculs. Je crois bien que j’ai autant du utiliser son aide en ligne que son logiciel afin de bien maîtriser ces concepts et calculs 😉

sipcalc

Sur une Ubuntu desktop rien de plus simple pour l’installer :

sudo apt-get install sipcalc

Ensuite il vous suffit de le lancer via la console :

gals@gals-UVB:~$ sipcalc 10.0.0.0/25
-[ipv4 : 10.0.0.0/25] – 0
[CIDR]
Host address        – 10.0.0.0
Host address (decimal)    – 167772160
Host address (hex)    – A000000
Network address        – 10.0.0.0
Network mask        – 255.255.255.128
Network mask (bits)    – 25
Network mask (hex)    – FFFFFF80
Broadcast address    – 10.0.0.127
Cisco wildcard        – 0.0.0.127
Addresses in network    – 128
Network range        – 10.0.0.0 – 10.0.0.127
Usable range        – 10.0.0.1 – 10.0.0.126

gals@gals-UVB:~$

L’aide est assez complète et nous montre pas mal d’options :

gals@gals-UVB:~$ sipcalc -h
sipcalc 1.1.5

Usage: sipcalc [OPTIONS]… <[ADDRESS]… [INTERFACE]… | [-]>

Global options:
-a, –all            All possible information.
-d, –resolve            Enable name resolution.
-h, –help            Display this help.
-I, –addr-int=INT        Added an interface.
-n, –subnets=NUM        Display NUM extra subnets (starting from
the current subnet). Will display all subnets
in the current /24 if NUM is 0.
-u, –split-verbose        Verbose split.
-v, –version            Version information.
-4, –addr-ipv4=ADDR        Add an ipv4 address.
-6, –addr-ipv6=ADDR        Add an ipv6 address.

IPv4 options:
-b, –cidr-bitmap        CIDR bitmap.
-c, –classfull-addr        Classfull address information.
-i, –cidr-addr        CIDR address information. (default)
-s, –v4split=MASK        Split the current network into subnets
of MASK size.
-w, –wildcard        Display information for a wildcard
(inverse mask).
-x, –classfull-bitmap    Classfull bitmap.

IPv6 options:
-e, –v4inv6            IPv4 compatible IPv6 information.
-r, –v6rev            IPv6 reverse DNS output.
-S, –v6split=MASK        Split the current network into subnets
of MASK size.
-t, –v6-standard        Standard IPv6. (default)

Address must be in the « standard » dotted quad format.
Netmask can be given in three different ways:
– Number of bits    [/nn]
– Dotted quad       [nnn.nnn.nnn.nnn]
– Hex               [0xnnnnnnnn | nnnnnnnn]

Interface must be a valid network interface on the system.
If this options is used an attempt will be made to gain the address
and netmask from the specified interface.

Replacing address/interface with ‘-‘ will use stdin for reading further
arguments.

Report bugs to .
gals@gals-UVB:~$

Si jamais il n’est pas disponible par défaut sur votre distribution Linux, n’hésitez pas à visiter les liens ci-dessous pour obtenir les sources.

IP Calculator : ipcalc

Un autre outil en ligne de commandes. Il est installé par défaut sous Ubuntu, CentOS et d’autre distributions.

gals@gals-UVB:~$ ipcalc
Usage: ipcalc [options]

[[/]] [NETMASK]

 

ipcalc takes an IP address and netmask and calculates the resulting
broadcast, network, Cisco wildcard mask, and host range. By giving a
second netmask, you can design sub- and supernetworks. It is also
intended to be a teaching tool and presents the results as
easy-to-understand binary values.

-n –nocolor  Don’t display ANSI color codes.
-c –color    Display ANSI color codes (default).
-b –nobinary Suppress the bitwise output.
-c –class    Just print bit-count-mask of given address.
-h –html     Display results as HTML (not finished in this version).
-v –version  Print Version.
-s –split n1 n2 n3
Split into networks of size n1, n2, n3.
-r –range    Deaggregate address range.
–help     Longer help text.

Examples:

ipcalc 192.168.0.1/24
ipcalc 192.168.0.1/255.255.128.0
ipcalc 192.168.0.1 255.255.128.0 255.255.192.0
ipcalc 192.168.0.1 0.0.63.255

ipcalc-  deaggregate address range

ipcalc

/–s a b c

split network to subnets
where a b c fits in.

! New HTML support not yet finished.

ipcalc 0.41
gals@gals-UVB:~$

Ce qui nous donne par exemple :

gals@gals-UVB:~$ ipcalc 10.0.0.0/25
Address:   10.0.0.0             00001010.00000000.00000000.0 0000000
Netmask:   255.255.255.128 = 25 11111111.11111111.11111111.1 0000000
Wildcard:  0.0.0.127            00000000.00000000.00000000.0 1111111
=>
Network:   10.0.0.0/25          00001010.00000000.00000000.0 0000000
HostMin:   10.0.0.1             00001010.00000000.00000000.0 0000001
HostMax:   10.0.0.126           00001010.00000000.00000000.0 1111110
Broadcast: 10.0.0.127           00001010.00000000.00000000.0 1111111
Hosts/Net: 126                   Class A, Private Internet

gals@gals-UVB:~$

Je vous laisse découvrir les différentes options possibles et jouer avec. Et pour plus d’informations où si vous ne l’avez pas d’installé, servez-vous des liens ci-dessous.

GIP (Internet Protocol Calculator)

Il s’agit ici d’une application fenêtrée et non plus en ligne de commande. Similaires aux autres elle nous permet de réaliser divers calculs en automatique. Pour l’installer sous Ubuntu rien de plus simple.

sudo apt-get install gip

Lancez là ensuite avec « gip ». Vous aurez alors les fenêtres suivantes :

De quoi faciliter les calculs et les études. Et si vous n’avez pas le paquet tout prêt pour votre distribution, vous pouvez suivre les liens suivant pour vous procurer ce logiciel.

Liens additionnels :

Parce que avoir des solutions toutes prêtes c’est bien, mais citer ces sources et vous permettre d’approfondir c’est tout aussi bien, voici quelques liens pour vous aider. Pour certains cela vous permettra de nombreux exemples de calculs en complément de ceux cités ci-dessus, et pour d’autres des points de vue ou des exemples différents des miens.

Comme d’habitude n’hésitez pas à partager vos propres ressources ou liens en commentaires. Plus on partage et mieux c’est. L’information est partage 😉

 

 

 

Pétition contre les brevets logiciels

Une pétition que je vous invite à signer pour les droits d’auteurs sur les logiciels mais conter les brevets. En effet Il est normal de la juste rétribution des développeurs, concepteurs, et c’est pourquoi le droit d’auteur existe, même pour les logiciels. En revanche les brevets logiciels, comme aux états-unis, ne font que rendre difficile l’innovation dans un milieu qui se doit de rester réactif. On constate même que la plupart du temps les brevets logiciels ne sont pas forcément accordés aux créateurs mais à des tiers et il est si facile d’ignorer l’existence de brevets … Enfin bref, je vous invite à lire ce qui est expliqué sur le site en lien ci-dessous, et à signer la pétition 🙂

stopsoftwarepatents.eu petition banner

Osez les logiciels libres !!!

Voici quelques temps je discutais avec mon cousin, et je me suis aperçus que beaucoup d’entre vous ne connaissaient pas les logiciels libres. Comme pour lui j’avais rédigé un petit laïus, je me suis dis que je pourrai vous en faire profiter. L’univers du libre est très vaste et cela peut aller du plus compliqué au plus simple. En effet cela couvre des systèmes d’exploitations (distributions Linux comme Ubuntu, Mandriva, RedHat, Suse, …). Il existe des sites et des associations pour promouvoir tout cela comme Framasoft qui recense 1500 logiciels libres et compatibles multi-systèmes (Windows, MAC, Linux) . Il existe aussi des sites pour promouvoir les distributions libres comme Distrowatch. Cela reste une très bonne source d’information sur les nouveautés dans les distributions Linux avec plus d’une centaine systèmes d’exploitations proposés.

Au delà de Framasoft, d’autres sites proposent régulièrement des comparatifs ou des listes de logiciels libres et gratuits aussi bien pour Linux que pour Windows. En général les Linuxiens connaissent déjà cet univers et donc beaucoup d’articles concernent les différentes versions de Windows 🙂 Voici par exemple un article sur un site assez connu où les alternatives aux logiciels de gravure payants sont exposées :

http://www.clubic.com/article-79507-1-logiciels-gravure-gratuits-mac-pc.html

En effet sur cinq pages on nous cite les différentes alternatives avec des points forts/faibles et autres informations pour pouvoir en choisir une. Un autre assez connu pour ce qui est de l’informatique donne chaque année toute une séries de pages sur les meilleurs logiciels libres et gratuits :

http://www.infos-du-net.com/actualite/dossiers/59-logiciels-gratuits.html

On y trouve une liste vraiment complète qui va de la suite bureautique comme Open Office pour remplacer MS Office, à des logiciels de retouche photo (The Gimp, Paint.Net,  …) et bien d’autres en traitement vidéo, audio, et ainsi de suite 🙂

Une autre initiative à citer pour promouvoir tout cet univers, issue de Framasoft, c’est le Framapack. A travers cette interface vous pourrez choisir des logiciels et lancer leur installation. Pour illustrer au mieux mes propos voici une liste non-exhaustive des logiciels proposés dans ce Framapack avec une légère description :

  • OpenOffice : suite bureautique complète, compatible avec MS Office
  • PDFCreator : créer ses propres PDF
  • FreeMind : mettre en forme ses idées ou ses remarques à l’aide de graphiques, de schémas
  • GnuCash : gérer ses compte
  • Sunbird : calendrier
  • Putty : se connecter en Telnet ou SSH où on veut
  • Komo Edit : Un IDE pour de nombreux langages
  • Notepadd++ : un éditeur de texte avancé
  • Tux Paint : pour que les petits apprenent à dessiner
  • TuxMath : s’exercer au calcul mental en jouant
  • Tux Typing : apprendre à maîtriser son clavier et à taper plus vite 😉
  • The Gimp : retouche et traitement d’images, de photos
  • Inkscape : dessin vectoriel
  • Blender : dessin, modélisation et animation 3D
  • Dia : réalisation de diagrammes
  • Sweet Home 3D : réalisation de plans de maison en 3D
  • Thunderbird : client de messagerie
  • Pidgin : unc lient pour de nombreuses messageries instantanées (msn, jabber, gtalk, icq, aim, …)
  • FileZilla : client FTP
  • Freeciv : la version gratuite et open source de l’éponyme Civilization
  • Frets On Fire : devenir un pro de la guitare
  • VLC : un lecteur multimédia complet
  • Audacity : enregistrer et convertir les fichiers audio
  • Songbird : classer et visualiser vos musiques et vidéos
  • CDex : convertir vos CD audios
  • Avidemux : convertir vos films
  • 7-zip : un archiveur complet
  • …etc…

Bien sûr je n’ai pas cité tout les logiciels du Framapack afin de vous inciter à au moins visiter leur interface. De même je pourrais vous concocter une liste bien plus longue avec des dizaines, voire des centaines mais est ce que cela serait vraiment utile ? Je préfère donc vous avoir fait cette courte présentation et j’espère que cela a attisé votre curiosité. N’hésitez pas à chercher suivant vos besoins, ou à farfouiller. Personnellement j’ai pu remplacer la majorité de mes logiciels propriétaires grâce au monde du libre qui est de plus en plus actif. Il est possible de trouver d’autres listes de suggestions que ce soit pour la sécurité, ou d’autres utilisations :

http://www.tunibox.com/utilitaires/liste-complete-des-meilleurs-220-logiciels-libres-et-gratuits-classes-par-categorie.html

http://oss.jbkempf.com/list.php

Vous pourrez trouver d’autres listes ou suggestions au gré de la toile. A savoir que beaucoup de sites prônant le libre ou diffusant ce type de logiciel comprendra toujours une parti vous invitant à faire des dons. En effet réaliser et maintenir des logiciels est un travail qui prend pas mal de temps, et même si il est souvent réalisé par des passionnés, un soutien financier permet d’aider. Et oui les hébergements coutent de l’argent, tout comme le temps et certains moyens techniques nécessaires. Donc si vous aimez un logiciel libre et que vous le souhaitez bien, n’hésitez pas à faire un don. Même de nombreux petits dons peuvent finalement être bénéfique (si 100 personnes donnent toutes 1 € cela fait déjà 100 € pour encourager quelqu’un à continuer et pour l’aider 🙂 ). C’est un système de fonctionnement qui n’est pas si mal, chacun pouvant participer ou non et ce à la mesure de son envie 🙂

Ce système s’étend maintenant à des éditeurs de logiciels qui distribuent une première version gratuite de leur solution afin de se faire connaitre, et proposent parallèlement des solutions plus complètes ou une offre de services quille est payante. Nous pouvons citer deux noms dans l’univers des antivirus avec AVG et sa version free, et Avast avec sa version familiale. Nous pouvons aussi citer l’éditeur VMware dont la renommée n’est plus à faire dans le milieu de la virtualisation, qui nous propose son « player » et sa version « server » par exemple pour virtualiser autant de machine qu’on le souhaite.

Pour conclure, je dirais que parallèlement il existe de nombreuses associations pour défendre les logiciels libres et le monde du libre comme l’April dont j’avais déjà parlé l’année passée, lors de la première version d’Hadopi. Espérons que tout cet univers aura encore plus que de beaux jours devant lui, et ce malgré la légère incompréhension de nos chers dirigeants. Tiens pour la nouvelle année je leur souhaite d’avoir moins d’oeillères 🙂 J’espère que cet article vous aura été utile ou qu’il vous aura intéressé. Bonne découverte à tous 🙂

Logiciels de modélisation UML Freewares : BOUML & ArgoUML

Ce semestre au CNAM j’ai du procéder à des schémas UML dans le cadre d’un cours de génie logiciel. Le travail s’effectuant en groupe, il nous a fallu trouver un logiciel nous permettant de réaliser tout les schémas nécessaires. Bien sûr il me restait des souvenirs de mon BTS, et notamment Enterprise Architect dont j’utilisais la version de démonstration à l’époque, ou encore Rational Rose (qui est très bien quand notre centre de formation à un accord avec IBM pour que les étudiants puissent l’utiliser gratuitement). Mon problème dans le cas présent était de trouver un logiciel gratuit, voire open source (restons dans le même univers) et qui serait compatible pour Windows et Linux, voire pour Mac. C’est ainsi qu’au gré des recherches sur le net je suis tombé sur Bouml.

Capture écran BoumlIl s’agit d’un logiciel très complet mais malheureusement un peu compliqué pour sa prise en main. En effet l’interface et son fonctionnement aurait vraiment besoin d’un coup de pouce pour ce qui est du côté simplicité d’utilisation, logique. En revanche il nous permet de créer quasiment tout les diagrammes UML possibles, de les lier ensembles (lier les éléments) et d’avoir donc une continuité dans le projet. Il semble aller jusqu’à la première génération de code (classes vides avec les éléments, attributs et opérations, pré-générées). Bon je n’ai pas testé le logiciel jusqu’à ce stade 🙂 Il prévoit aussi un mode multi-utilisateurs ce qui peut se révéler utile en entreprise pour travailler à plusieurs sur le même projet. En tout cas il nous a été bien utile dans notre projet, même si nous avons perdu un peu de  temps pour sa première prise en main.

En discutant avec notre formateur, il s’est avéré qu’il trouvait ce logiciel trop difficile à prendre en main, trop usine à gaz et qu’il lui préférait un autre éditeur, ArgoUML. Là aussi il semble exister une version pour Linux mais je n’ai testé que celle pour Windows pour le moment, et ce assez rapidement.

Capture écran ArgoUMLEffectivement son interface est beaucoup plus facile d’accès et permet une prise en main plus rapide. Comme pour Bouml, il va jusqu’à la génération du code ce qui est un plus indéniable pour un logiciel de modélisation UML de nos jours. J’avoue que si je l’avais découvert en premier, c’est surement celui que je préfèrerais mais comme nous avions commencé tout notre projet sur le premier, nous l’avons utilisé jusqu’au bout.

Je sais que cette présentatione st un peu succinte, mais je voulais la faire car autant vous faire profiter de cette dernière. En effet ma propre recherche m’avait entraîner sur pas mal de forums ou sites avant d’aboutir, donc autant vous en faire profiter. Et si vous connaissez d’autres logiciels ou souhaitez donner votre avis, n’hésitez pas à laisser un commentaire 🙂

Installer Google Chrome (Chromium) sur Mandriva 2008.1 et supérieures

Google_Chrome

Etant donné que c’est à la mode et que certains collègues ont déjà craqués, j’ai réalisé l’installation de Chrome sur mon poste de travail. Bon d’accord je suis sous Mandriva 2008.1 ce qui commence à dater un petit peu, mais cela tourne bien donc 😉 Voici une astuce pour l’installer assez facilement :

  1. Télécharger l’archive chrome-linux.zip depuis http://build.chromium.org/buildbot/snapshots/chromium-rel-linux/ (choisissez la dernière version)
  2. Décompresser le zip (unzip chrome-linux.zip) dans un dossier au choix (moi je l’ai fais dans mon home, dans un dossier juste pour lui).
  3. En tant que root, créer des liens symbolique vers les bibliothèques nécessaires à son fonctionnement
    1. ln -s /usr/lib/libnss3.so /usr/lib/libnss3.so.1d
    2. ln -s /usr/lib/libnssutil3.so /usr/lib/libnssutil3.so.1d
    3. ln -s /usr/lib/libsmime3.so /usr/lib/libsmime3.so.1d
    4. ln -s /usr/lib/libssl3.so /usr/lib/libssl3.so.1d
    5. ln -s /usr/lib/libplds4.so /usr/lib/libplds4.so.0d
    6. ln -s /usr/lib/libplc4.so /usr/lib/libplc4.so.0d
    7. ln -s /usr/lib/libnspr4.so /usr/lib/libnspr4.so.0d
    8. ln -s /usr/lib/libbz2.so.1 /usr/lib/libbz2.so.1.0
  4. Modifier les droits de ce dossier : chown -R user: ./chrome-linux
  5. En tant qu’utilisateur normal, lancer ./chrome
  6. Ou bien ajouter un raccourci dans le menu kde ou gnome 🙂

Amusez vous bien avec ce nouveau navigateur 🙂 Bon d’accord je commence à avoir un peu trop de navigateur sur ma machine mais bon … Firefox, Konqueror, SeaMonkey … A force je devrais avoir une jolie collection 😀

Source initiale

Erratum : il existe un autre moyen d’installer la version officielle en la téléchargeant sur le site de Google Chrome. Vous y trouverez des .deb pour Ubuntu et Debian (j’ai testé le .deb pour la 8.04 et cela s’est installé sans aucun souci), et des rpm pour Fedora et OpenSuse. Le rpm a pu être installé sur des Mandriva 2009.0 et 2009.1 (et doit donc fonctionner sur des versions plus récentes aussi). On a juste du rajouter une option pour ne pas suivre les dépendances lors de l’installation. C’est parce que cette installation n’a pas fonctionné pour moi que j’ai cherché la méthode explicité ci-dessus 🙂 Voila j’ai presque dû faire le tour, mais j’avoue que je continue à préférer Firefox à Google … 1984 m’a trop marqué 😉

2010-02-11 Complément d’information : sur Eugeni’s Blog vous pourrez trouver l’adresse d’un dépôt pour un rpm de Chrome.