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Osez les logiciels libres !!!

Voici quelques temps je discutais avec mon cousin, et je me suis aperçus que beaucoup d’entre vous ne connaissaient pas les logiciels libres. Comme pour lui j’avais rédigé un petit laïus, je me suis dis que je pourrai vous en faire profiter. L’univers du libre est très vaste et cela peut aller du plus compliqué au plus simple. En effet cela couvre des systèmes d’exploitations (distributions Linux comme Ubuntu, Mandriva, RedHat, Suse, …). Il existe des sites et des associations pour promouvoir tout cela comme Framasoft qui recense 1500 logiciels libres et compatibles multi-systèmes (Windows, MAC, Linux) . Il existe aussi des sites pour promouvoir les distributions libres comme Distrowatch. Cela reste une très bonne source d’information sur les nouveautés dans les distributions Linux avec plus d’une centaine systèmes d’exploitations proposés.

Au delà de Framasoft, d’autres sites proposent régulièrement des comparatifs ou des listes de logiciels libres et gratuits aussi bien pour Linux que pour Windows. En général les Linuxiens connaissent déjà cet univers et donc beaucoup d’articles concernent les différentes versions de Windows 🙂 Voici par exemple un article sur un site assez connu où les alternatives aux logiciels de gravure payants sont exposées :

http://www.clubic.com/article-79507-1-logiciels-gravure-gratuits-mac-pc.html

En effet sur cinq pages on nous cite les différentes alternatives avec des points forts/faibles et autres informations pour pouvoir en choisir une. Un autre assez connu pour ce qui est de l’informatique donne chaque année toute une séries de pages sur les meilleurs logiciels libres et gratuits :

http://www.infos-du-net.com/actualite/dossiers/59-logiciels-gratuits.html

On y trouve une liste vraiment complète qui va de la suite bureautique comme Open Office pour remplacer MS Office, à des logiciels de retouche photo (The Gimp, Paint.Net,  …) et bien d’autres en traitement vidéo, audio, et ainsi de suite 🙂

Une autre initiative à citer pour promouvoir tout cet univers, issue de Framasoft, c’est le Framapack. A travers cette interface vous pourrez choisir des logiciels et lancer leur installation. Pour illustrer au mieux mes propos voici une liste non-exhaustive des logiciels proposés dans ce Framapack avec une légère description :

  • OpenOffice : suite bureautique complète, compatible avec MS Office
  • PDFCreator : créer ses propres PDF
  • FreeMind : mettre en forme ses idées ou ses remarques à l’aide de graphiques, de schémas
  • GnuCash : gérer ses compte
  • Sunbird : calendrier
  • Putty : se connecter en Telnet ou SSH où on veut
  • Komo Edit : Un IDE pour de nombreux langages
  • Notepadd++ : un éditeur de texte avancé
  • Tux Paint : pour que les petits apprenent à dessiner
  • TuxMath : s’exercer au calcul mental en jouant
  • Tux Typing : apprendre à maîtriser son clavier et à taper plus vite 😉
  • The Gimp : retouche et traitement d’images, de photos
  • Inkscape : dessin vectoriel
  • Blender : dessin, modélisation et animation 3D
  • Dia : réalisation de diagrammes
  • Sweet Home 3D : réalisation de plans de maison en 3D
  • Thunderbird : client de messagerie
  • Pidgin : unc lient pour de nombreuses messageries instantanées (msn, jabber, gtalk, icq, aim, …)
  • FileZilla : client FTP
  • Freeciv : la version gratuite et open source de l’éponyme Civilization
  • Frets On Fire : devenir un pro de la guitare
  • VLC : un lecteur multimédia complet
  • Audacity : enregistrer et convertir les fichiers audio
  • Songbird : classer et visualiser vos musiques et vidéos
  • CDex : convertir vos CD audios
  • Avidemux : convertir vos films
  • 7-zip : un archiveur complet
  • …etc…

Bien sûr je n’ai pas cité tout les logiciels du Framapack afin de vous inciter à au moins visiter leur interface. De même je pourrais vous concocter une liste bien plus longue avec des dizaines, voire des centaines mais est ce que cela serait vraiment utile ? Je préfère donc vous avoir fait cette courte présentation et j’espère que cela a attisé votre curiosité. N’hésitez pas à chercher suivant vos besoins, ou à farfouiller. Personnellement j’ai pu remplacer la majorité de mes logiciels propriétaires grâce au monde du libre qui est de plus en plus actif. Il est possible de trouver d’autres listes de suggestions que ce soit pour la sécurité, ou d’autres utilisations :

http://www.tunibox.com/utilitaires/liste-complete-des-meilleurs-220-logiciels-libres-et-gratuits-classes-par-categorie.html

http://oss.jbkempf.com/list.php

Vous pourrez trouver d’autres listes ou suggestions au gré de la toile. A savoir que beaucoup de sites prônant le libre ou diffusant ce type de logiciel comprendra toujours une parti vous invitant à faire des dons. En effet réaliser et maintenir des logiciels est un travail qui prend pas mal de temps, et même si il est souvent réalisé par des passionnés, un soutien financier permet d’aider. Et oui les hébergements coutent de l’argent, tout comme le temps et certains moyens techniques nécessaires. Donc si vous aimez un logiciel libre et que vous le souhaitez bien, n’hésitez pas à faire un don. Même de nombreux petits dons peuvent finalement être bénéfique (si 100 personnes donnent toutes 1 € cela fait déjà 100 € pour encourager quelqu’un à continuer et pour l’aider 🙂 ). C’est un système de fonctionnement qui n’est pas si mal, chacun pouvant participer ou non et ce à la mesure de son envie 🙂

Ce système s’étend maintenant à des éditeurs de logiciels qui distribuent une première version gratuite de leur solution afin de se faire connaitre, et proposent parallèlement des solutions plus complètes ou une offre de services quille est payante. Nous pouvons citer deux noms dans l’univers des antivirus avec AVG et sa version free, et Avast avec sa version familiale. Nous pouvons aussi citer l’éditeur VMware dont la renommée n’est plus à faire dans le milieu de la virtualisation, qui nous propose son « player » et sa version « server » par exemple pour virtualiser autant de machine qu’on le souhaite.

Pour conclure, je dirais que parallèlement il existe de nombreuses associations pour défendre les logiciels libres et le monde du libre comme l’April dont j’avais déjà parlé l’année passée, lors de la première version d’Hadopi. Espérons que tout cet univers aura encore plus que de beaux jours devant lui, et ce malgré la légère incompréhension de nos chers dirigeants. Tiens pour la nouvelle année je leur souhaite d’avoir moins d’oeillères 🙂 J’espère que cet article vous aura été utile ou qu’il vous aura intéressé. Bonne découverte à tous 🙂

Ajouter la puissance de bash_completion à votre projet Symfony

En général les utilisateurs réguliers d’un système Linux connaissent les avantages de l’utilisation du package bash_completion, et bien voici une astuce pour que cela soit applicable à un projet Symfony. Bon je ne suis pas développeur, mes bases étant un peu limitées, mais étant amené à utiliser pas mal de projets Symfony dans le cadre de mon travail, j’ai eu vent de cette astuce. Tout d’abord il faut créer un fichier dans votre home avec comme nom .bash_completion . S’il existe déjà, nous mettrons à jour ce dernier.

_symfony()
{
local cur prev action
COMPREPLY=()
cur=${COMP_WORDS[COMP_CWORD]}
prev=${COMP_WORDS[COMP_CWORD-1]}
action=${COMP_WORDS[1]}

case « $prev » in
« init-module »| »propel-generate-crud »| »propel-init-crud »| »propel-init-admin »| »generate:module »| »propel:generate-crud »| »propel:init-admin »)
COMPREPLY=( $( compgen -W « $( ls -1 apps 2>/dev/null | sed -e ‘s/ /\\ /g’ | sed -e ‘s/\/$//g’ ) » — $cur ) )

return 0
;;

« init-project »| »generate:project »)
COMPREPLY=( $( compgen -W « $( pwd | perl -pe « s/^.*?([^\/]+)$/\$1/g » ) » — $cur ) )

return 0
;;

« init-app »| »generate:app »)
COMPREPLY=( $( compgen -W « frontend backend » — $cur ) )

return 0
;;

« sync »)
if (($COMP_CWORD == 3)); then
COMPREPLY=( $( compgen -W ‘go’ — $cur))
fi

return 0
;;

*symfony)
SYMFONY_VERSION=$( $prev -V | sed ‘s/^symfony version //g’ | awk -F ‘.’ ‘{print $1 « . » $2;}’ )

case « $SYMFONY_VERSION » in
0.*)
# Versions less than 1.0 are not supported.
COMPREPLY=()
;;

« 1.0 »)
COMPREPLY=( $( compgen -W « $( $prev -T | awk ‘/^  /’ | cut -d ‘ ‘ -f 3 ) » — $cur ) )
;;

*)
COMPREPLY=( $( compgen -W « $(
NAMESPACE= »
OLD_IFS=$IFS

IFS=$’\n’
for line in $( $prev -T ); do
if [ $line != ‘Available tasks:’ ]; then
if [ ${line:0:2} == ‘  ‘ ]; then
TASK=$(echo $line | awk -F ‘:’ ‘{print $2;}’ | cut -d ‘ ‘ -f 1)
if [ -z $NAMESPACE ]; then
echo $TASK
else
echo $NAMESPACE:$TASK
fi
else
NAMESPACE=$line
fi
fi
done

IFS=$OLD_IFS
) » — $cur ) )

# Work-around bash_completion issue where bash interprets a colon as a separator.
# Work-around borrowed from the darcs work-around for the same issue.
local colonprefixes=${cur% »${cur##*:} »}
local i=${#COMPREPLY[*]}
while [ $((–i)) -ge 0 ]; do
COMPREPLY[$i]=${COMPREPLY[$i]# »$colonprefixes »}
done
;;
esac

return 0
;;

*)
case « $action » in
« propel-generate-crud »| »propel-init-crud »| »propel-init-admin »| »propel:generate-crud »| »propel:init-admin »)
if (($COMP_CWORD == 3)); then
COMPREPLY=( $( compgen -W « $( find lib/model -maxdepth 1 -name ‘*.php’ -exec basename ‘{}’ ‘.php’ ‘;’ | grep -v ‘Peer$’ | tr [:upper:] [:lower:] ) » — $cur ) )
elif (($COMP_CWORD == 4)); then
COMPREPLY=( $( compgen -W « $( find lib/model -maxdepth 1 -name ‘*.php’ -exec basename ‘{}’ ‘.php’ ‘;’ | grep -v ‘Peer$’ ) » — $cur ) )
fi

return 0
;;
esac

return 0
;;
esac

return 0
}

complete -F _symfony symfony

Modifier votre fichier .bashrc pour y ajouter : [ -f ~/.bash-completion ] && source ~/.bash-completion

Enfin pour bénéficier immédiatement de ses effets, relancer bash, ou plus proprement  tapez « source ~/.bashrc ».

Et voilà vous aussi vous aurez ainsi accès à l’auto-complétion pour votre projet Symfony :

[user@nommachine monrep]$ ./symfony monprojet-matache matache-action:realize

Et voila pour cette astuce. Si mes souvenirs sont bons, la Source initiale provient du wiki de Symfony et notamment de la section « update » du lien précédent. Personnellement je l’ai testé sur une Mandriva 2008.1 et cela avait fonctionné.

Installer Google Chrome (Chromium) sur Mandriva 2008.1 et supérieures

Google_Chrome

Etant donné que c’est à la mode et que certains collègues ont déjà craqués, j’ai réalisé l’installation de Chrome sur mon poste de travail. Bon d’accord je suis sous Mandriva 2008.1 ce qui commence à dater un petit peu, mais cela tourne bien donc 😉 Voici une astuce pour l’installer assez facilement :

  1. Télécharger l’archive chrome-linux.zip depuis http://build.chromium.org/buildbot/snapshots/chromium-rel-linux/ (choisissez la dernière version)
  2. Décompresser le zip (unzip chrome-linux.zip) dans un dossier au choix (moi je l’ai fais dans mon home, dans un dossier juste pour lui).
  3. En tant que root, créer des liens symbolique vers les bibliothèques nécessaires à son fonctionnement
    1. ln -s /usr/lib/libnss3.so /usr/lib/libnss3.so.1d
    2. ln -s /usr/lib/libnssutil3.so /usr/lib/libnssutil3.so.1d
    3. ln -s /usr/lib/libsmime3.so /usr/lib/libsmime3.so.1d
    4. ln -s /usr/lib/libssl3.so /usr/lib/libssl3.so.1d
    5. ln -s /usr/lib/libplds4.so /usr/lib/libplds4.so.0d
    6. ln -s /usr/lib/libplc4.so /usr/lib/libplc4.so.0d
    7. ln -s /usr/lib/libnspr4.so /usr/lib/libnspr4.so.0d
    8. ln -s /usr/lib/libbz2.so.1 /usr/lib/libbz2.so.1.0
  4. Modifier les droits de ce dossier : chown -R user: ./chrome-linux
  5. En tant qu’utilisateur normal, lancer ./chrome
  6. Ou bien ajouter un raccourci dans le menu kde ou gnome 🙂

Amusez vous bien avec ce nouveau navigateur 🙂 Bon d’accord je commence à avoir un peu trop de navigateur sur ma machine mais bon … Firefox, Konqueror, SeaMonkey … A force je devrais avoir une jolie collection 😀

Source initiale

Erratum : il existe un autre moyen d’installer la version officielle en la téléchargeant sur le site de Google Chrome. Vous y trouverez des .deb pour Ubuntu et Debian (j’ai testé le .deb pour la 8.04 et cela s’est installé sans aucun souci), et des rpm pour Fedora et OpenSuse. Le rpm a pu être installé sur des Mandriva 2009.0 et 2009.1 (et doit donc fonctionner sur des versions plus récentes aussi). On a juste du rajouter une option pour ne pas suivre les dépendances lors de l’installation. C’est parce que cette installation n’a pas fonctionné pour moi que j’ai cherché la méthode explicité ci-dessus 🙂 Voila j’ai presque dû faire le tour, mais j’avoue que je continue à préférer Firefox à Google … 1984 m’a trop marqué 😉

2010-02-11 Complément d’information : sur Eugeni’s Blog vous pourrez trouver l’adresse d’un dépôt pour un rpm de Chrome.

Recréer une partition de Swap sous Linux (Mandriva 2009.0)

Je profite d’avoir rédigé un article pour le Blog du service technique de PMSIpilot pour le proposer ici aussi 🙂 Voici quelques jours nous avons eu l’appel d’un contact rencontrant un souci sur son serveur. En effet alors qu’il appliquait une mise à jour à travers un applicatif, cela échouait sans plus de raisons. En nous connectant en VPN nous avons dans un premier abord été surpris. En effet les fichiers de logs ne contenaient pas beaucoup d’informations pour nous aider. A force de creuser nous avons enfin trouvé une première trace dans le log de MySQL qui redémarrait par manque de mémoire. Cela nous a surpris car ce serveur avait normalement 1 Go de RAM et 2 Go de Swap. En vérifiant avec la commande free nous avons obtenu la réponse suivante :

[root@pmsipilot ~]# free
total used free shared buffers cached
Mem: 1034548 206192 828356 0 11888 91500
-/+ buffers/cache: 102804 931744
Swap: 0 0 0
[root@pmsipilot ~]#

Et là surprise, pas de Swap ! Nous avons ensuite vérifié que la partition existait bien avant de vérifier le contenu du fichier fstab pour voir si nous demandions bien à la partition de se monter et surprise elle était bien présente :

[root@pmsipilot ~]# fdisk -l /dev/sda

Disque /dev/sda: 42.9 Go, 42949672960 octets
255 heads, 63 sectors/track, 5221 cylinders
Units = cylindres of 16065 * 512 = 8225280 bytes
Disk identifier: 0x00000000

Périphérique Amorce Début Fin Blocs Id Système
/dev/sda1 * 1 660 5301418+ 83 Linux
/dev/sda2 661 5221 36636232+ 5 Extended
/dev/sda5 661 928 2152678+ 82 Linux swap / Solaris
/dev/sda6 929 2246 10586803+ 83 Linux
/dev/sda7 2247 5221 23896656 83 Linux
[root@pmsipilot ~]#

[root@pmsipilot ~]# cat /etc/fstab
# Entry for /dev/sda1 :
UUID=f2e0dc3e-ca0c-11de-9505-9532f1d0a000 / ext3 relatime 1 1
# Entry for /dev/sda6 :
UUID=058c0c64-ca0d-11de-84a0-39a75bb193a6 /home ext3 relatime 1 2
/dev/cdrom /media/cdrom auto umask=0,users,iocharset=utf8,noauto,ro,exec 0 0
/dev/fd0 /media/floppy auto umask=0,users,iocharset=utf8,noauto,exec,flush 0 0
none /proc proc defaults 0 0
# Entry for /dev/sda7 :
UUID=1bc24804-ca0d-11de-b77f-27219b1234fe /var ext3 relatime 1 2
# Entry for /dev/sda5 :
UUID=057d5d9a-ca0d-11de-ba57-83515a19edff swap swap defaults 0 0
[root@pmsipilot ~]#

Enfin en vérifiant dans /proc/swaps nous nous apercevions que aucune swap n’était listée.

[root@pmsipilot ~]# cat /proc/swaps
Filename Type Size Used Priority

Et en vérifiant l’UUID de cette partition, elle semblait bien correspondre :

[root@pmsipilot ~]# ls -l /dev/disk/by-uuid/
total 0
lrwxrwxrwx 1 root root 10 2009-11-06 13:29 057d5d9a-ca0d-11de-ba57-83515a19edff -> ../../sda5
lrwxrwxrwx 1 root root 10 2009-11-06 13:29 058c0c64-ca0d-11de-84a0-39a75bb193a6 -> ../../sda6
lrwxrwxrwx 1 root root 10 2009-11-06 13:29 1bc24804-ca0d-11de-b77f-27219b1234fe -> ../../sda7
lrwxrwxrwx 1 root root 10 2009-11-06 13:29 f2e0dc3e-ca0c-11de-9505-9532f1d0a000 -> ../../sda1
[root@pmsipilot ~]#

Nous avons alors tenté de monter manuellement la partition de Swap avec la commande swapon :

[root@pmsipilot ~]# swapon /dev/sda5
[root@pmsipilot ~]# free
total used free shared buffers cached
Mem: 1034548 207324 827224 0 11984 91688
-/+ buffers/cache: 103652 930896
Swap: 2152668 0 2152668
[root@pmsipilot ~]#

Comme on peut le constater cela fonctionnait et nous n’avions aucun retour en erreur que ce soit sur le prompt ou dans les fichiers de logs. Nous avons alors redémarré le serveur (qui bien sûr est à plus de 500 km pour faire simple 😉 ) et avons eu la désagréable surprise de constater que la swap ne s’était pas remontée d’elle même. Après avoir pris conseil auprès de Mandriva, nous avons pu constater que certains logs suggéraient que la swap pouvait être corrompue, et l’avons donc reformatée :

[root@pmsipilot ~]# mkswap /dev/sda5
Setting up swapspace version 1, size = 2152672 KiB
pas d’étiquette, UUID=bbc600ee-4350-452f-894d-349fb915927b
[root@pmsipilot ~]#

Une fois cette partition recréée, il a bien sûr fallu modifier le fichier /etc/fstab afin de tenir compte du nouvel UUID.

[root@pmsipilot ~]# vi /etc/fstab
[root@pmsipilot ~]# cat /etc/fstab
# Entry for /dev/sda1 :
UUID=f2e0dc3e-ca0c-11de-9505-9532f1d0a000 / ext3 relatime 1 1
# Entry for /dev/sda6 :
UUID=058c0c64-ca0d-11de-84a0-39a75bb193a6 /home ext3 relatime 1 2
/dev/cdrom /media/cdrom auto umask=0,users,iocharset=utf8,noauto,ro,exec 0 0
/dev/fd0 /media/floppy auto umask=0,users,iocharset=utf8,noauto,exec,flush 0 0
none /proc proc defaults 0 0
# Entry for /dev/sda7 :
UUID=1bc24804-ca0d-11de-b77f-27219b1234fe /var ext3 relatime 1 2
# Entry for /dev/sda5 :
UUID=bbc600ee-4350-452f-894d-349fb915927b swap swap defaults 0 0
[root@pmsipilot ~]#

Suite à cette modification, un redémarrage pour vérifier et là Eureka la Swap est bien montée au démarrage, mission accomplie et problème réglé 🙂

Gaël Duperrey & Samuel Verschelde

Frozen Bubble v2.2.0

frozen-bubble_011

Voici un petit jeu que j’aime bien. Bon tout le monde connait son principe, on doit faire des amas de boules de la même couleurs afin de les faire tomber le plus rapidement possible, afin que notre écran ne se remplisse pas. Ce genre de jeu existe dans bien des versions mais là je vous parle d’une version développée pour Linux. Il existe bien sûr une version Windows de ce jeu mais elle a un certain retard (avis aux amateurs qui voudraient participer au projet). J’ai commencé à y jouer au travail, durant la pause de midi contre Stormi et un autre collègue. Par la suite nous avons testé d’autres jeux (ce qui sera l’occasion de rédiger d’autres articles 😉 ) mais nous venons de revenir à celui-ci. En effet la version 2.2 vient tout juste de sortir avec des améliorations notables :

– barre d’état permettant de savoir quand l’écran va descendre

– non interruption de la partie multi-joueurs si un joueur quitte en cours de route

frozen-bubble_021

J’avoue donc que c’est avec un plaisir non dissimulé que nous avons recommencé à jouer au travail, durant notre pause de midi, surtout que nous sommes bien plus nombreux maintenant. on peut donc facilement jouer à cinq ou faire plusieurs parties multi-joueurs. Si vous souhaitez installer cette version 2.2.0 sur votre Linux (j’ai testé sur Ubuntu 8.04 et Mandriva 2008.1 et ultérieures) il vous suffit d’activer les backports. En effet la version 2.2.0 n’a pa encore été validée pour les dépôts main stables, donc il faut allez la chercher dans les backports. En tout cas c’est un plaisir que de pouvoir y rejouer avec ces nouvelles options. Bon je souhaite à ceux qui sont sous Windows qu’une âme charitable finisse le portage de cette nouvelle version pour vous, sinon passez à Linux 😉

frozen-bubble_03Je vous attends donc en ligne si l’occasion se présente, d’ailleurs vous connaissez mon pseudo (Gals) 😉 Je profite de cet article pour féliciter Stormi qui vient de passer contributeur Mandriva. C’est une bonne nouvelle (surtout pour les jeux :p), Félicitations mister 🙂

Lien : Site officiel Frozen-Bubble