Informations :
Titre original : Eureka Seven AO
Année de production : 2012
Studio : Bones
Genres : Aventure, Cyber & Mecha, Espace & Science-Fiction
Auteur : Bones
Volumes, Type & Durée : 24 épisodes de 25 minutes
Synopsis :
Ao a treize ans. Il a été recueilli par le docteur Toshio Fukai, avec qui il vit sur l’ile Iwato dans l’archipel d’Okinawa, et passe beaucoup de temps avec son amie Naru, qui a hérité de problèmes respiratoires et de pouvoirs spirituels lors d’un mystérieux accident. Il ne peut voir son amie qu’en partie en cachette, ses parents ne souhaitant pas qu’ils se fréquentent. Un jour, alors qu’il se promène sur la plage, le jeune homme tombe sur Gazelle, un pilote qui transporte un colis pour des militaires japonais. Celui-ci laisse derrière lui un bracelet que Ao trouve. Il réalise qu’il s’agit du bracelet que portait sa mère disparue depuis dix ans. Des accidents arrivent sur l’île avec l’apparition de poussées de corail. Avec l’apparition de corail, apparaissent les Secrets (une mystérieuse machine) et bien souvent d’importantes destructions. Ao va se retrouver entraîné malgré lui aux commandes d’une machine militaire, un LFO, le Nirvash. Semblant être le seul à pouvoir piloter cette machine, il va aller d’aventure en aventure, accompagné par une équipe de mercenaires qui défendent la planète des Secrets et du corail.
Avis personnel :
J’ai commencé à regarder la série à la suite de Eureka Seven dont j’ai parlé un peu plus tôt cette année [Link]. Initialement je souhaitais voir la suite de l’histoire, de cet univers où on surf (lift) dans l’air sur le Trapar. L’histoire est légèrement différente mais nous retrouvons certains des thèmes de la première série. L’écologie et l’acceptation des différences semble par contre venir prendre un peu plus d’importance. Pour le moment je continue à regarder la série et ne puis donc donner un avis final. Je vous invite néanmoins à la regarder car elle est agréable, et elle peut se voir même si vous n’avez pas vu la précédente. L’histoire semble assez indépendante pour avoir sa propre vie, du moins au stade où j’en suis.
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