C’est suite à un article de Korben que j’ai envie de partager cette collection de liens. En effet on ignore souvent que nous pouvons trouver en ligne beaucoup de musique sous licence Creative Commons ou bien libre de droits pour travailler sur ses projets. Bonne découverte et n’hésitez pas à partager ces liens ou de nouveaux si vous en connaissez 🙂
Musopen Musique libre de droits (dans le domaine public), partitions, …
ArtistServer.com Free independent music, 10,000 mp3 downloads by more than 8,000 artists
Un peu de libre dans ce monde ou on arrive à remettre des copyright sur des œuvres qui étaient tombées dans le domaine public (Sources Framablog – Numerama) … Cela ne nous fera pas de mal, comme une bouffée d’air 😉
PS : pensez à lire les licences proposer avant de vous en servir, c’est toujours mieux 🙂
Avec le temps j’ai régulièrement eu la flemme de traverser mon salon pour aller changer un CD ou pour tout simplement en charger un. J’ai donc petit à petit copié mes CD en MP3 pour pouvoir en profiter plus simplement, sans me condamner le lecteur du PC. Comme beaucoup j’ai pris le premier outil sous la main, et me suis contenté de faire la transformation rapide. J’ai renommé ensuite manuellement chaque fichier pour les identifier. Bon je sais que maintenant des logiciels comme Nero ou autre (suivant les plateformes) sont capable de chercher en ligne tout ce qu’il faut pour créer proprement les fichiers avec les Tags. Oui j’ai lâché le mot, « Tag », car mon souci vient qu’utilisant maintenant Rhythmbox mes albums sont rangés n’importe comment. Et oui il se base sur les tags comme de nombreux lecteurs (iTunes, Amarok, …). je me retrouve donc trop souvent à ne plus retrouver mes petits et à ne pouvoir écouter la musique qui me plait. Et aujourd’hui j’ai trouvé un petit logiciel (sous Linux pour moi) qui répond à mon besoin, remettre bien à plat les Tags des morceaux.
Gros avantage de ce logiciel, il est gratuit, multi-plateforme (Linux, MAC OS, et même Windows avec une bêta). Il est simple d’utilisation, car il parcours de lui même les dossiers pour afficher les MP3. On peut modifier tout les MP3 dans la liste puis appliquer les changements. Il permet aussi de modifier le nom du fichier et pas seulement les Tags.
Pour le moment je m’en suis servi de façon basique sur quelques albums mais j’ai été satisfait. En effet après une exploration du dossier par Rhythmbox, les morceaux étaient correctement rangés par artiste, albums, styles … Et quand je vois qu’il permet de bien renseigner tout les champs, d’associer une image, je me dis qu’il est assez complet.
D’après la documentation on peut donc faire comme moi, et modifier manuellement les fichiers, mais il semblerait que l’on puisse automatiser le tout à l’aide de masques ou bien grâce à une base de données en ligne. Étant donné que j’ai extrait moi même mes mp3 depuis mes albums, je devrais pouvoir utiliser cette dernière option pour rechercher dans la base de données et ainsi gagner du temps. Bon d’accord j’ai un certain retard à combler mais c’est plutôt cool, je saurais enfin dans mon lecteur préféré ce que j’écoute autrement qu’en le reconnaissant, de même sur mon lecteur MP3 / Baladeur (pour ne pas dire Smartphone :p ). Si cela vous intéresse je vous invite à tester ce logiciel en cliquant ci-dessous et bon travail pour remettre à plat votre bibliothèque musicale 🙂
Afin de varier les thèmes et de ne pas décourager les non informaticiens, je me suis dis qu’il fallait que je parle un peu plus de tout, ainsi que je le prévoyais initialement. Alors dans les rubriques diverses voici celles sur le cinéma, les films et ce que j’en ai pensé. Bon dans un premier temps je vais me limiter à ceux que j’aime bien 😉
August Rush
Synopsis : August a grandit dans un orphelinat, mais en étant au sein de son monde ce qui fait qu’il fut souvent ennuyé. Il a toujours entendu la musique du monde et il va s’ouvrir à la musique à travers un voyage à la poursuite de cette dernière. Persuadé que ses parents n’ont jamais voulu l’abandonner, il se laisse guider par la musique, persuadé qu’elle le guidera vers eux ou l’inverse.
Avis personnel : Un vrai coup de cœur pour ce film et ses musiques. Pour ce personnage plus qu’attachant. Si vous avez l’occasion de le voir n’hésitez pas. Il ne casse pas trois pattes à un canard comme dirait certain mais perso j’ai adoré et l’ai d’ailleurs vu plusieurs fois. L’ayant fait découvrir à ma mère elle a trouvé que l’histoire se rapprochait un peu de celle de Georges Gerschwin, du moins dans la façon d’utiliser des objets et des sons du quotidien pour créer des symphonies.
Synopsis : Will Hayes est un jeune père New Yorkais d’une trentaine d’année. L’histoire comme sur lui qui nous explique ce qu’est une journée parfaite, une journée où il retrouve sa fille Maya qui a onze ans. Cependant ce jour là Maya à eu un cours particulier à l’école et elle va en arriver à demander à son père comment elle est née, comment ses parents se sont connus à l’époque. Will va alors lui raconter l’histoire d’un jeune homme et de ses trois amours. A elle de deviner qui est sa mère dans cette histoire 🙂
Avis personnel : Une histoire d’amour, ou plutôt des histoires d’amour comme nous pouvons tous en vivre de nos jours. Une histoire de vie sous la forme d’un conte. Personnellement, mais non je ne suis pas fleur bleu, j’ai trouvé ce film assez mignon, gentillet. C’est aussi ce film qui m’a donné envie de lire Jane Eyre de Charlotte Brontë suite aux nombreuses références à cette œuvre dans l’une des histoires.Comme quoi certain chemins peuvent être étranges pour accéder à la culture 😀 Regardez le si vous en avez l’occasion, c’est un divertissement sympa et sans prétention pour une soirée 🙂
Synopsis : Tom croit encore au destin, au grand amour, à la destinée cosmique. C’est dans cet état d’esprit qu’il va rencontrer Summer, une collègue de travail. C’est à travers leur histoire, durant les 500 jours où ils vont se côtoyer que nous allons les suivre, au gré de la narration de Tom. Un conte moderne sur les histoires de nos jours, sur les aspiration de nous tous, sur une histoire de vie tout court de son début à sa fin.
Avis personnel : Une histoire d’amour bien classique en apparence mais une façon de la racontée qui est bien sympathique. En effet l’esprit de Tom nous emmène un coup en avant, un coup en arrière et sa narration nous perds par moment comme on peut-être perdu dans une histoire 🙂 Je me suis perdu dans ce film avec plaisir et j’ai aimé sa façon d’être réalisé, de se dérouler. Une très bon moment donc 🙂
Synopsis : Lazarus est ce qu’on pourrait appelé un vieil agriculteur américain, un vieil homme noir ancien joueur émérite de blues. Travaillant dans sa ferme, fatigué par la vie, abandonné par sa femme, il cultive sa terre par routine, vendant lui même sa production, mais il ne semble pas aigrit pour autant. Rae est une jeune fille perdue, abimée par la vie, torturée, qui va de destruction en destruction. Un matin Lazarus la découvrira couverte d’ecchymoses, inconsciente près de chez lui. Il décidera de lui venir en aide, vieil homme blessé de la vie au secours d’une jeune fille détruite de façon précoce. L’histoire de deux paumés que rien ne rapproche.
Avis personnel : Je dirais que la bande son avec du Blues qui prend bien aux tripes vaut à elle seule le détour. Les acteurs (Samuel L Jackson et Christina Ricci) quant à eux donnent la dimension au film. Je suis tombé dessus par hasard et j’ai adoré. Ne vous arrêtez pas au Synopsis car j’ai surement mal retranscrit l’histoire et regardez le. J’ai passé un très bon moment et je suis toujours marqué par le blues de Lazarus ou par Rae 😉
Synopsis : Un ingénieur travaillant sur la construction d’un immense barrage au cœur de la forêt amazonienne va voir son fils disparaitre, avalé par le géant vert et ses habitants. Il n’aura de cesse de parcourir cet enfer vert à la recherche des Invisibles, la tribu indienne qui l’a enlevé. Dis ans plus tard il le rencontrera …
Avis personnel : Bon d’accord ce film date de 1985, mais i m’avait parqué plus petit. Un des premiers film à attirer l’attention du grand public sur la forêt amazonienne et sur sa déforestation, sur le sort des tribus qui y vivent et qui sont souvent détruites au contact de notre soit disant société « civilisée ». Un classique qu’il faut avoir vu au moins une fois donc n’hésitez pas et foncez 🙂
Et voici pour cette première session. bon vu la quantité de films que je consomme, ou que j’ai consommé, je devrais pouvoir parler de quelques autres films prochainement 😉 En attendant bons films si vous en regardez de votre côté 😉
Pour écouter de la musique en ligne nous connaissons tous Deezer et certains d’entre vous ont entendus parler de Spotify dernièrement. Spotify fonctionne sur un principe similaire à Deezer sauf que nous avons ici un client lourd à installer (alors que Deezer fonctionne sur le principe d’un client léger dans une page Web, quoique le flash sous Linux ce n’est pas toujours si léger que cela 😉 ). Donc quand nous nous inscrivons sur le site de Spotify afin d’y télécharger leur client, nous nous apercevons que celui-ci n’est proposé que pour Windows ou Macintosh. Que cela ne tienne, si on a laissé trainer ses oreilles on sait qu’il existe des moyens pour faire tourner des applications Windows sous Linux (Wine pour ne pas le citer). Voici donc que ce matin je décides de tester une application autre que Deezer. Je télécharge donc l’exécutable de Spotify après m’être inscris sur leur site et je lance son exécution. Bon d’accord j’ai déjà Wine d’installé (Si vous vous souvenez du post sur PlayOnLinux). J’avoue que je me sers peu de Wine, ayant tendance à chercher des équivalents dans le monde Linuxien quand j’ai besoin d’une application dont je me servais dans le temps sous Windows, ou bien à faire tourner une machine virtuelle avec VirtualBox sur laquelle j’ai installé un Windows (et oui il arriver qu’on ait besoin d’un Windows encore … Non aucune honte, c’est pratique parfois 😉 ). Donc si vous n’avez pas Wine d’installé ce n’est pas très dure :
Ubuntu
apt-get install wine
Mandriva
urpmi wine
Une fois installé je vous invite à vous rendre dans son répertoire, dans votre /home/user afin de le configurer une première fois.
winecfg
Donc une fois Wine installé et configuré, il nous suffit de double cliquer sur l’installeur de Spotify que nous avons téléchargés. Notre système préféré va nous demander ce que nous souhaitons en faire et nous lui répondons donc que nous souhaitons l’exécuter avec Wine. Personnellement j’ai été surpris car malgré ma machine vieillissante, il s’est installé en quelques secondes. ‘ai ensuite lancé ce logiciel installé (dans le menu de votre Linux vous le trouverez dans le répertoire Wine, sinon il faudra lancer l’exécutable du logiciel avec la commande Wine dans votre terminal).
Je n’ai pas encore parcouru l’ensemble de l’application mais je teste déjà les radios. Cela ne me semble pas mal du tout, ou du moins un bon complément à Deezer. Les choix sont différents mais le catalogue semble lui aussi bien vaste. Espérons qu’il n’y aura pas les même limitations que sur Deezer, même si pour se financer ils mettent de la pub sur leur interface (où on peut souscrire à un abonnement). Pour souvenir Deezer a décidé que nous ne pourrions plus écouter que les albums vendu dans notre pays … Oui bien sûr il existe des moyens pour contourner ce point mais c’est un peu lassant quand même^^
Voila je vous laisse donc découvrir Spotify (même si l’information n’est pas si récente que cela) et je m’en retourne écouter de la musique dessus. Et si vous êtes sur un autre système que le mien, et bien l’installation et le fonctionnement sont encore plus simples 😉
Bon le morceau date de quelques temps mais comme il vient de redevenir d’actualité suite au vote de la loi, je n’ai pas pu résister à son extraction de mes archives pour vous le faire partager.