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Configurer un serveur de temps sous Windows

Voici quelques temps j’ai été confronté à un souci. Si tout mes serveurs Linux étaient bien synchronisés avec des serveurs NTP (cf. ce post), les postes de travail sous Windows avaient eux une légère avance. Vous me direz que ce n’est pas trop grave, mais comme les personnes travaillant sur ces postes se basent sur cette heure pour partir, cela fait désordre. En cherchant quelques informations j’ai pu avoir une meilleure idée du fonctionnement des serveurs de temps sous Windows. Au sein d’un domaine, les machines se basent sur le temps du serveur d’autorité, donc bien souvent le PDC (Contrôleur de domaine). Ce dernier se base par défaut sur son horloge interne. C’est en effet le plus simple et le plus sûr car on est alors indépendant d’une source externe (pas de souci si on a pas Internet). Dans le cadre de mon réseau d’entreprise, j’ai un accès à Internet redondant avec d’un côté une fibre optique à 100 Mo et de l’autre une connexion basique via une Box d’un FAI. Si l’accès principal se coupe, le Firewall basculera automatiquement vers la deuxième connexion le temps que la première se rétablisse. L’horloge interne de mon contrôleur de domaine semblant avancer, j’ai décidé de synchroniser ce dernier avec le pool ntp français, comme pour mes serveurs Linux.

Je suis d’abord tombé sur cette fiche du support de Microsoft. On y trouve une description très complète de ces soucis, peut-être trop. Autant sous Linux on édite juste le fichier de configuration ntp.conf, autant ici on se retrouve à devoir jouer avec la base de registre, ce qui est loin d’être ma méthode préférée sur un contrôleur de domaine principal 😉 Je suis ensuite tombé sur un site d’administration réseau où l’explication était plus simple et a répondue à mon besoin (www.adminreseau.net). Voici ci-dessous la méthode que j’ai donc appliquée :

Dans une invite de commandes DOS entrer la commande suivante :

net time /setsntp:fr.pool.ntp.org

Cette commande permettra de configurer la source de temps externe en modifiant les entrées suivantes de la base de registre (personnellement, j’ai fais une sauvegarde complète de la base de registre avant de faire cette manipulation, on est jamais trop prudents …) :

HKLM\SYSTEM\CurrentControlSet\Services\W32Time\Parameters\Type passera de NT5DS à NTP
HKLM\SYSTEM\CurrentControlSet\Services\W32Time\Config\AnnounceFlags passera de 10 à 5 en décimal
HKLM\SYSTEM\CurrentControlSet\Services\W32Time\Parameters\NtpServer sera créée au besoin et contiendra le nom du serveur NTP utilisé pour la synchronisation, ici fr.pool.ntp.org (pool de serveurs de temps français).

Il fallait ensuite redémarrer le serveur de temps en tapant les commandes suivantes à la suite :

net stop w32time (arrêt du service de temps)
net start w32time (démarrage du serveur de temps)
w32tm /resync /rediscover (force la synchronisation)

Si vous avez d’autres contrôleurs de domaine, vous pouvez faire cette manipulation supplémentaire dessus pour les synchroniser :

/setsntp (efface la configuration précédente)
w32tm /resync /rediscover (force la synchronisation)

Vous pourrez ensuite vérifier la synchronisation de vos contrôleurs de domaine avec la commande suivante :

w32tm /monitor

Personnellement je n’avais qu’un seul contrôleur de domaine donc pas besoin de m’occuper de la synchronisation des autres. En revanche je ne me suis pas embêté à aller sur chaque poste Windows pour le synchroniser. Les utilisateurs éteignant les machines la nuit, la synchronisation s’est faite naturellement au petit matin quand ils ont rallumés leurs postes de travail 🙂

BOINC : ne laissez pas votre ordinateur inactif !!!


Il y a quelques années maintenant que j’entends parler de BOINC et j’ai mis un certain temps à m’y intéresser. Les principaux projets, du moins les deux plus connus sont le SETI et la recherche contre le Cancer. Le principe en est simple, utiliser la puissance de calcul des ordinateurs en veille pour créer un réseau de calcul géant au service de la recherche. Je me souviens avoir lu un article voici quelques années où on expliquait qu’une clef de cryptage nécessitait 300 jours de calculs à un processeur pour être cassée (ne me demandez pas quelle clef exactement car cela date maintenant), et qu’il ne fallait plus que 30 jours avec 300 PC d’une faculté américaine en cluster. Le principe est ici le même, les personnes ayant installé un programme BOINC, acceptent de partager les ressources de leur machine quand ils ne s’en servent pas et participent ainsi à la recherche de la vie dans l’univers (SETI), à la recherche contre le Cancer, ou le séquençage du génome humain (ou autre), …etc…

Le principe est donc simple, installez un simple client et quand votre ordinateur est allumé sans que vous vous en serviez, il réalisera des bouts de calculs pour le projet choisi. On peut même laisser son ordinateur tourner plus que nécessaire pour participer plus activement 😉 (oui un classement existe pour les plus prolifiques 😉 ).

Issu d’un projet de l’université de Berkeley initialement, le site principal y est toujours hégergé, ce qui est normal si on s’intéresse à la signification du sigle « Berkeley Open Infrastructure for Network Computing » :

http://boinc.berkeley.edu/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Berkeley_Open_Infrastructure_for_Network_Computing

Vous y trouverez d’ailleurs toutes les explications dans de nombreuses langues pour installer les clients et choisir le projet auquel adhérer. D’ailleurs quand on regarde la liste des projets, chacun peut y trouver son bonheur :

http://boinc.berkeley.edu/projects.php
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_projets_BOINC

Il s’agit de projets et d’un mode de participation libre, et permettant à tout un chacun de participer dans sa mesure au futur de la recherche. On trouve même des communautés dans chaque pays, comme l’alliance francophone par exemple. Vous y trouverez de nouveau plein d’explications, de définitions, d’aides et même un forum pour échanger.

L’installation du client BOINC est souvent simplifiée avec un « installer » sous Windows ou des paquetages sous Linux (Exemple installation BOINC Ubuntu). Je vous laisse donc découvrir cet univers et vous laisse « libre » de rejoindre cette communauté ou non 😉

Firefox et les extensions (plugins)

Alors je ne vais pas faire tout un laïus sur les extensions Firefox mais simplement une rapide présentation pour ceux qui ne connaitraient pas. Ce que nous appelons extensions ou plugins complémentaires sont en fait des petits greffons, bout de programme, qui vont permettre de rajouter des fonctionnalités à notre navigateur favoris.  Cela peut permettre d’intégrer une correction orthographique avec les formulaires web, une option pour connaitre la couleur (plus exactement le code couleur) utilisé sur certains sites ou dans certaines images, traduire l’interface en Borg Borg (oui nous n’avons jamais dis qu’elles seraient toutes utiles 😉 ), et j’en passes … Je vais pour le moment me contenter de vous présenter celles que j’utilise actuellement, sachant qu’il en existe pas mal d’autres et qu’il est possible de les consulter sur la page des extensions de Firefox. Les modules sont manageables à travers le menu « Outils – Modules Complémentaires » (en tout cas sur ma Ubuntu, mais c’est bien souvent très proche d’un système d’exploitation à l’autre 🙂

Adblock Plus : Un des plu connu et des plus pratique, il permet de bloquer, supprimer la majorité des publicités sur Internet. J’ai jamais été un grand fan de la publicité, mais encore moins ces dernières années avec cette volonté très répandue de monétiser au maximum la toile. Ce plugin va donc vous permettre de supprimer énormément de pubs sur les sites et de surfer bien plus tranquillement, voire même plus rapidement.

ColorZilla : Un petit plugin assez sympathique dont l’utilité est de vous donner les codes couleurs sur des pages web. En effet il arrive que nous souhaitions connaitre les couleurs sur certains sites car elles nous plaisent, ou nous souhaiterions le sre-utiliser que ce soit pour créer un site web ou autre. Nous pouvons donc ici  placer un curseur sur l’espace voulu et en connaitre les codes couleurs.

Dictionnaire Hunspell en Français : Un dictionnaire et donc un correcteur orthographique intégré à votre navigateur afin de vous aider dans vos saisie de texte sur Internet. En effet nous sommes de plus en plus amenés à remplir des formulaires en ligne, à échanger sur la toile et parfois un correcteur orthographique est quand même bien utile pour éviter les coquilles dues à la frappes ou à notre étourderie. Nous pourrions aussi le considérer comme un moyen de lutte contre le langage SMS et l’appauvrissement de notre langue française (ou d’autres langages). Comme cela je suis vieux jeu ? :p

Diigo Bookmarks and Web Annotations : Un plugin que j’utilise plus pour mon travail et qui permet de soumettre des liens pour les partager avec la toile ou avec un groupe de connaissances, dans le même esprit que reddit. Pour illustrer mon propos je vous propose de visiter ma « page » ce qui sera peut-être plus parlant. Comme vous pourrez le voir j’y soumets des liens techniques ou en rapport avec le milieu médical pour mon travail, mais on peut ausi s’en servir pour partager rapidement des liens avec des amis ou avec le reste du monde. Le plugin permet aussi de mettre des annotations pour soi ou pour les autres utilisateurs de ce derniers sur le spages web directement, mais j’avoue ne jamais m’en servir et avoir même désactivé cette partie de ce dernier.

Firebug : Un des meilleurs ami des développeurs web qui permet de débugger sa page assez facilement en analysant tout ses composants que ce soit le code HTML, la feuille de style CSS, les scripts Javascripts et ainsi de suite. On peut même réaliser des modifications à la volée afin de tester différents paramètres et d’analyser ses soucis. Un incontournable donc 🙂

Flashblock : Un plugin pour bloquer tout les contenu flash mais non pour les supprimer. En effet que ce soit mon portable ou mon poste fixe, leur âge commence à jouer un peu en leur défaveur sur le net avec cette profusion de contenus flash sur tout les sites, qui sont très consommateurs en processeur ou en mémoire pour leur affichage. Nous pouvons donc ici bloquer tout ces contenu et les débloquer soit au coup par coup d’un simple clic, ou pour un site complet suivant nos besoins. Un moyen de nettoyer encore un peu plus la toile et de pouvoir surfer un peu plus vite 🙂

Web Developer : Un autre outil incontournable pour les développeurs web, qui vous permet aussi d ‘analyser tout les composants des sites web. Je dirais qu’avec Firebug cité plus hauts, ce sont vraiment deux outils nécessaires.

FlashGot :Un plugin pour pouvoir télécharger les vidéos flash sur différents sites. Il fonctionne comme un aspirateur de site afin de récupérer les .swf, .fla et autres fichiers flash pour les utiliser en local ou sur d’autres espaces web.

Flash Video Ressources Downloader : Un autre plugin pour essayer de récupérer les vidéos flash. J’avoue me servir plus du précédent.

Voici donc pour ma sélection actuelle. il est vrai que j’en ais utilisé bien d’autres mais actuellement je me limite à cette liste. Les plugins et autres outils ne sont bien sûr pas limités à Firefox et il est possible d’en avoir énormément avec Google Chrome aussi. Mais étant donné que je commence à douter un peu de ce Big Brother (que voulez-vous, 1984 reste de l’anticipation pour moi 😉 ), je me contente de me servir de leur navigateur une fois de temps à autre comme ça, sans plus de prétentions. Si vous voulez plus d’informations de ce côté je vous invites à faire une recherche sur un moteur de recherche ou à visiter l’un de ces deux sites :

Pour Internet Explorer c’est un peu plus délicat. En effet ces extensions sont venues sur le tard et le navigateur ne les avait pas intégrées par défaut. Je n’ai donc encore jamais testé dessus mais il existe bien sûr des barres de debugging pour le développement web, ou d’autres outils. Je vous laisse par contre chercher par vous même 🙂

Utilisez SQL Developer avec MySQL via JDBC

Bon je mentirais si je disais que j’utilise énormément cet outil. Je l’ai découvert l’année passée lors d’un cours du CNAM sur la gestion des bases de donnée qui était très orienté Oracle. Tellement que j’ai du installer une base Oracle à la maison sur une machine virtuelle pour travailler (oui hors de question que je pollue ma propre machine 😉 ). Personnellement je n’ai pas été conquis par cette interface, je préférais Toad que ce soit pour Oracle ou pour MySQL (cette dernière est d’ailleurs gratuite).  Et j’avoue que depuis quelque temps je me contente bien souvent d’utiliser les outils de MySQL directement comme MySQL Workbench et le fameux SQL Query Browser. Enfin là n’est pas le propos de cet article, sinon je vais mettre un temps assez important pour tous les décrire.  Je vais donc ici tout simplement expliquer comment utiliser un connecteur JDBC afin de pouvoir utiliser SQL Developer (qui est en Java) avec une base MySQL. Le connecteur JDBC va vous permettre de créer un lien entre votre système et l’application Java. Je vous invite dans un premier temps à télécharger SQL Developer sur le site de Oracle, et le driver JDBC sur le site de MySQL. Dans les deux cas il vous faudra vous créer un compte mais c’est gratuit, sans engagement 🙂 Une fois les deux fichiers zip téléchargés, décompressez les à votre guise. Personnellement j’ai préféré décompresser SQL Developer dans « Program Files » et le driver JDBC dans le répertoire MySQL où j’avais déjà l’ODBC et les autres produits de cet éditeur. Si vous n’en avez pas, je vous conseillerais de le placer dans le dossier de SQL Developer afin de concentrer l’installation. Une fois cette action effectuée, lancez l’application. Si nous observons le panneau de création de connexion (cf illustration ci-dessous), nous voyons que nous sommes assez limités.

Nous allons donc rajouter notre connecteur JDBC pour augmenter nos choix. Cliquez sur Outils – Préférences (ainsi que illustré).

Puis naviguez dans les menus « Bases de données – Pilotes JDBC tiers ». Cliquez sur le bouton pour ajouter une entrée et allez sélectionner le jar correspondant dans le dossier où vous avez décompressé le driver JDBC. Dans mon cas c’est le dossier MySQL.

Une fois cette opération effectuée, si nous revenons sur notre panneau de création de connexion, nous pouvons nous apercevoir que nous avons un nouveau choix en sus de Oracle et de Access, c’est à dire MySQL 🙂

A vous maintenant de remplir les champs pour pouvoir vous connecter à votre base MySQL préférée avec cet outil. Voici deux images pour terminer pour illustrer rapidement cette création vers une base de test.

Et enfin, avec la base ouverte :

Rien de bien compliqué ici, juste une astuce qui bien sûr peut être utilisée ou adaptée pour d’autres applications nécessitant un lien JDBC 🙂

Osez les logiciels libres !!!

Voici quelques temps je discutais avec mon cousin, et je me suis aperçus que beaucoup d’entre vous ne connaissaient pas les logiciels libres. Comme pour lui j’avais rédigé un petit laïus, je me suis dis que je pourrai vous en faire profiter. L’univers du libre est très vaste et cela peut aller du plus compliqué au plus simple. En effet cela couvre des systèmes d’exploitations (distributions Linux comme Ubuntu, Mandriva, RedHat, Suse, …). Il existe des sites et des associations pour promouvoir tout cela comme Framasoft qui recense 1500 logiciels libres et compatibles multi-systèmes (Windows, MAC, Linux) . Il existe aussi des sites pour promouvoir les distributions libres comme Distrowatch. Cela reste une très bonne source d’information sur les nouveautés dans les distributions Linux avec plus d’une centaine systèmes d’exploitations proposés.

Au delà de Framasoft, d’autres sites proposent régulièrement des comparatifs ou des listes de logiciels libres et gratuits aussi bien pour Linux que pour Windows. En général les Linuxiens connaissent déjà cet univers et donc beaucoup d’articles concernent les différentes versions de Windows 🙂 Voici par exemple un article sur un site assez connu où les alternatives aux logiciels de gravure payants sont exposées :

http://www.clubic.com/article-79507-1-logiciels-gravure-gratuits-mac-pc.html

En effet sur cinq pages on nous cite les différentes alternatives avec des points forts/faibles et autres informations pour pouvoir en choisir une. Un autre assez connu pour ce qui est de l’informatique donne chaque année toute une séries de pages sur les meilleurs logiciels libres et gratuits :

http://www.infos-du-net.com/actualite/dossiers/59-logiciels-gratuits.html

On y trouve une liste vraiment complète qui va de la suite bureautique comme Open Office pour remplacer MS Office, à des logiciels de retouche photo (The Gimp, Paint.Net,  …) et bien d’autres en traitement vidéo, audio, et ainsi de suite 🙂

Une autre initiative à citer pour promouvoir tout cet univers, issue de Framasoft, c’est le Framapack. A travers cette interface vous pourrez choisir des logiciels et lancer leur installation. Pour illustrer au mieux mes propos voici une liste non-exhaustive des logiciels proposés dans ce Framapack avec une légère description :

  • OpenOffice : suite bureautique complète, compatible avec MS Office
  • PDFCreator : créer ses propres PDF
  • FreeMind : mettre en forme ses idées ou ses remarques à l’aide de graphiques, de schémas
  • GnuCash : gérer ses compte
  • Sunbird : calendrier
  • Putty : se connecter en Telnet ou SSH où on veut
  • Komo Edit : Un IDE pour de nombreux langages
  • Notepadd++ : un éditeur de texte avancé
  • Tux Paint : pour que les petits apprenent à dessiner
  • TuxMath : s’exercer au calcul mental en jouant
  • Tux Typing : apprendre à maîtriser son clavier et à taper plus vite 😉
  • The Gimp : retouche et traitement d’images, de photos
  • Inkscape : dessin vectoriel
  • Blender : dessin, modélisation et animation 3D
  • Dia : réalisation de diagrammes
  • Sweet Home 3D : réalisation de plans de maison en 3D
  • Thunderbird : client de messagerie
  • Pidgin : unc lient pour de nombreuses messageries instantanées (msn, jabber, gtalk, icq, aim, …)
  • FileZilla : client FTP
  • Freeciv : la version gratuite et open source de l’éponyme Civilization
  • Frets On Fire : devenir un pro de la guitare
  • VLC : un lecteur multimédia complet
  • Audacity : enregistrer et convertir les fichiers audio
  • Songbird : classer et visualiser vos musiques et vidéos
  • CDex : convertir vos CD audios
  • Avidemux : convertir vos films
  • 7-zip : un archiveur complet
  • …etc…

Bien sûr je n’ai pas cité tout les logiciels du Framapack afin de vous inciter à au moins visiter leur interface. De même je pourrais vous concocter une liste bien plus longue avec des dizaines, voire des centaines mais est ce que cela serait vraiment utile ? Je préfère donc vous avoir fait cette courte présentation et j’espère que cela a attisé votre curiosité. N’hésitez pas à chercher suivant vos besoins, ou à farfouiller. Personnellement j’ai pu remplacer la majorité de mes logiciels propriétaires grâce au monde du libre qui est de plus en plus actif. Il est possible de trouver d’autres listes de suggestions que ce soit pour la sécurité, ou d’autres utilisations :

http://www.tunibox.com/utilitaires/liste-complete-des-meilleurs-220-logiciels-libres-et-gratuits-classes-par-categorie.html

http://oss.jbkempf.com/list.php

Vous pourrez trouver d’autres listes ou suggestions au gré de la toile. A savoir que beaucoup de sites prônant le libre ou diffusant ce type de logiciel comprendra toujours une parti vous invitant à faire des dons. En effet réaliser et maintenir des logiciels est un travail qui prend pas mal de temps, et même si il est souvent réalisé par des passionnés, un soutien financier permet d’aider. Et oui les hébergements coutent de l’argent, tout comme le temps et certains moyens techniques nécessaires. Donc si vous aimez un logiciel libre et que vous le souhaitez bien, n’hésitez pas à faire un don. Même de nombreux petits dons peuvent finalement être bénéfique (si 100 personnes donnent toutes 1 € cela fait déjà 100 € pour encourager quelqu’un à continuer et pour l’aider 🙂 ). C’est un système de fonctionnement qui n’est pas si mal, chacun pouvant participer ou non et ce à la mesure de son envie 🙂

Ce système s’étend maintenant à des éditeurs de logiciels qui distribuent une première version gratuite de leur solution afin de se faire connaitre, et proposent parallèlement des solutions plus complètes ou une offre de services quille est payante. Nous pouvons citer deux noms dans l’univers des antivirus avec AVG et sa version free, et Avast avec sa version familiale. Nous pouvons aussi citer l’éditeur VMware dont la renommée n’est plus à faire dans le milieu de la virtualisation, qui nous propose son « player » et sa version « server » par exemple pour virtualiser autant de machine qu’on le souhaite.

Pour conclure, je dirais que parallèlement il existe de nombreuses associations pour défendre les logiciels libres et le monde du libre comme l’April dont j’avais déjà parlé l’année passée, lors de la première version d’Hadopi. Espérons que tout cet univers aura encore plus que de beaux jours devant lui, et ce malgré la légère incompréhension de nos chers dirigeants. Tiens pour la nouvelle année je leur souhaite d’avoir moins d’oeillères 🙂 J’espère que cet article vous aura été utile ou qu’il vous aura intéressé. Bonne découverte à tous 🙂