Archives mensuelles : mai 2009

Utiliser Spotify sous Linux

logo_spotify

Pour écouter de la musique en ligne nous connaissons tous Deezer et certains d’entre vous ont entendus parler de Spotify dernièrement. Spotify fonctionne sur un principe similaire à Deezer sauf que nous avons ici un client lourd à installer (alors que Deezer fonctionne sur le principe d’un client léger dans une page Web, quoique le flash sous Linux ce n’est pas toujours si léger que cela 😉 ). Donc quand nous nous inscrivons sur le site de Spotify afin d’y télécharger leur client, nous nous apercevons que celui-ci n’est proposé que pour Windows ou Macintosh. Que cela ne tienne, si on a laissé trainer ses oreilles on sait qu’il existe des moyens pour faire tourner des applications Windows sous Linux (Wine pour ne pas le citer). Voici donc que ce matin je décides de tester une application autre que Deezer. Je télécharge donc l’exécutable de Spotify après m’être inscris sur leur site et je lance son exécution. Bon d’accord j’ai déjà Wine d’installé (Si vous vous souvenez du post sur PlayOnLinux). J’avoue que je me sers peu de Wine, ayant tendance à chercher des équivalents dans le monde Linuxien quand j’ai besoin d’une application dont je me servais dans le temps sous Windows, ou bien à faire tourner une machine virtuelle avec VirtualBox sur laquelle j’ai installé un Windows (et oui il arriver qu’on ait besoin d’un Windows encore … Non aucune honte, c’est pratique parfois 😉 ). Donc si vous n’avez pas Wine d’installé ce n’est pas très dure :

Ubuntu

apt-get install wine

Mandriva

urpmi wine

Une fois installé je vous invite à vous rendre dans son répertoire, dans votre /home/user afin de le configurer une première fois.

winecfg

Donc une fois Wine installé et configuré, il nous suffit de double cliquer sur l’installeur de Spotify que nous avons téléchargés. Notre système préféré va nous demander ce que nous souhaitons en faire et nous lui répondons donc que nous souhaitons l’exécuter avec Wine. Personnellement j’ai été surpris car malgré ma machine vieillissante, il s’est installé en quelques secondes. ‘ai ensuite lancé ce logiciel installé (dans le menu de votre Linux vous le trouverez dans le répertoire Wine, sinon il faudra lancer l’exécutable du logiciel avec la commande Wine dans votre terminal).

Je n’ai pas encore parcouru l’ensemble de l’application mais je teste déjà les radios. Cela ne me semble pas mal du tout, ou du moins un bon complément à Deezer. Les choix sont différents mais le catalogue semble lui aussi bien vaste. Espérons qu’il n’y aura pas les même limitations que sur Deezer, même si pour se financer ils mettent de la pub sur leur interface (où on peut souscrire à un abonnement). Pour souvenir Deezer a décidé que nous ne pourrions plus écouter que les albums vendu dans notre pays … Oui bien sûr il existe des moyens pour contourner ce point mais c’est un peu lassant quand même^^

Voila je vous laisse donc découvrir Spotify (même si l’information n’est pas si récente que cela) et je m’en retourne écouter de la musique dessus. Et si vous êtes sur un autre système que le mien, et bien l’installation et le fonctionnement sont encore plus simples 😉

Sources & Liens :

SpotifyDeezer

MandrivaUbuntuWine

DJL

logo-djl

Pour faire suite à l’article sur PlayOnLinux je souhaitais parler de djl. Ce logiciel, pour Linux, fonctionne un peu comme Steam (les joueurs de HL, CS et consorts connaissent 😉 ). Il s’agit donc d’un gestionnaire de jeux écrit en python. Contenant une trentaine de jeux pour le moment il vous permet d’installer simplement ces jeux en les sélectionnant dans sa liste. Si je vous en parle déjà ce n’est pas que je l’ai déjà testé, mais que Stormi vient de s’occuper de le packager pour Mandriva. Je profite donc de l’occasion^^ Comme il me l’a souligné, ce logiciel représente quand même une faille de sécurité dans le fait que nous devons lui faire confiance dans l’installation du jeu mais c’est un pas assez intéressant pour nos distributions. Plus besoin de s’embêter avec les dépôts de bacport pour la dernière version de notre frozen-bubble par exemple, djl s’en charge pour nous.

Bon ne l’ayant pas encore installé, et oui je joue moins avec le temps, je vous laisse découvrir les captures d’écran directement sur leur site. En effet djl n’est pas qu’un simple installeur, vous y trouverez aussi un agrégateur de flux RSS pour suivre les dernières actualités sur les jeux sous Linux et un client IRC pour discuter avec les autres joueurs. Dans les autres fonctionnalités il est capable de se mettre lui même à jour, d’afficher les informations de débogage si un jeu peine à se lancer, ou de lancer les jeux dans un serveur graphique séparé (pour ceux qui utilisent Compiz ou Beryl). Donc pour ceux qui sont sous Mandriva, il y a des chances que le package rpm soit déjà disponible dans les backports ou sur les dépôts de la cooker (il faudra que je pose la question à Stormi sur ce point). Pour les autres une archive tgz est disponible pour réaliser l’installation. Attention, le site jeuxlinux.fr conseil de ne pas l’installer en root, ce qui semble aller de soi mais mieux vaut le rappeler 🙂 Sur ce bon jeu^^

Site Officiel djl en français

The Hadopi Song

Bon le morceau date de quelques temps mais comme il vient de redevenir d’actualité suite au vote de la loi, je n’ai pas pu résister à son extraction de mes archives pour vous le faire partager.


The Hadopi Song from jcfrog on Vimeo.

Il n’y a pas à dire, il a un certain talent ce monsieur 🙂

PlayOnLinux

Voici quelques temps que je souhaitais parler de ce projet qu’est PlayOnLinux. En effet pas mal de personnes ne veulent pas passer entièrement sous Linux à cause des difficultés pour jouer à des jeux prévus uniquement pour Windows. Bien sûr les puristes argueront qu’il suffit de configurer Wine. D’autres diront qu’il faut arrêter de jouer. Et sinon maintenant il existe PlayOnLinux.

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Ce logiciel, qui va de pair avec Wine, va vous permettre d’installer les jeux Windows facilement sur votre Linux. En effet,a près avoir choisi le jeu ou logiciel en question dans la liste proposé (il ne propose pas que des jeux mais c’est sont principal intérêt), il se chargera de configurer l’instance de Wine correctement pour pouvoir faire tourner votre choix.

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Attention, PlayOnLinux ne contient pas les jeux, il est là pour vous aider à les installer. Il vous faut donc posséder les CD originaux ou les exécutables si vous voulez installer un jeu. Moi par exemple je m’en suis servis pour installer TrackMania Nation Forever (la version gratuite). J’ai donc téléchargé l’exécutable et l’ai installé à travers PlayOnLinux.

playonlinux_03

Bon il peut arriver qu’on ait quelques soucis pour le son ou pour certaines fonctionnalités mais c’est déjà un très beau résultat. Personnellement j’ai pris beaucoup de plaisir à jouer su Trackmania malgré le manque de son. Mais je vous rassure cela ne le fait pas pour tous, cela va aussi dépendre de votre matériel. En tout cas essayez donc ce logiciel. Vous trouverez des guides d’installation que ce soit pour Ubuntu ou Mandriva. Le projet possède d’ailleurs ses propres dépôts 🙂 Sur ce bon jeu et peut-être à plus tard en ligne sur un jeu 😉

Site Officiel PlayOnLinux

Site TrackMania Nation Forever

Papertoys ter

papertoys_p3_01Et vois la troisième édition de mes papertoys. Ce n’est pas que je n’en faisais plus, quoique j’ai du réduire le rythme, c’est surtout que je ne prenais pas le temps de poster de nouvelles images. Il faut bien avouer que mon poste a été légèrement modifié et que j’ai donc moins de temps pour en faire, enfin surtout que les appels téléphoniques que j’ai sont plus compliqués et me demande plus de concentration qu’avant. J’ai néanmoins pu agrandir la petite famille. Bon j’ai du les déménager aussi. Et oui comme nous sommes plus nombreux dans notre service, nous avons réorganisé les bureaux, et la poutre qui hébergeait ces petites créations est devenue un peu inaccessible. Ils ont donc migré vers le haut d’une armoire à côté de moi (d’où ce support noir ;)). Parmi les nouveaux venus nous conterons : Megaman, Bender, Purple tentacle, Sonic et Mario.

papertoys_p3_02Le plus simple reste the purple tentacle et le plus compliqué fût Megaman. Oui on sent bien le côté Geek avec ces choix mais que vouliez vous au sein d’un service informatique. Comme d’habitude je me suis service de modèles publiés sur Cubeecraft. Je vous invites d’ailleurs à visiter le site qui a été refondu depuis la dernière fois. En discutant avec des collègues, certains ont eu de super idées comme recréer un paysage de Mario avec les figurines ou créer pleins de figurines. Aucun de ces collègue n’en est venu à la réalisation, alors si je pouvais me permettre un conseil, ne faites pas qu’en parler, imprimez un modèle et réalisez le 🙂 Et pour montrer que quand un modèle nous plait vraiment on le réalise même à la maison voici ci-dessous le Tux et le Garfield qui trônent au dessus de mon poste de travail à la maison 🙂

papertoys_p3_03N’hésitez pas à m’envoyer des photos de vos créations ou à vous lancer. Il suffit de faire du découpage et du pliage, c’est très simple 🙂 Voila sur ce je vous lais en attendant la quatrième édition des Papertoys. Je ne sais pas encore ceux que je vais choisir mais je me dis qu’il serait dommage de s’arrêter pour le moment 😉